Elise Blanc, Psychologue clinicienne – Psychothérapeute
- Diplômée de l’Ecole de Psychologues Praticiens de Paris.
- D.U Pratiques de genre : Education, médecine, psychanalyse et société
- D.U Psycho-traumatologie – Criminologie
- Certificat Européen de Psychothérapie (CEP) en Analyse Transactionnelle.
- Analyste transactionnelle CTA-P certifiée par l’EATA (European Association for Transactional Analysis)
- EMDR (traitement des traumatismes)
- ICV (Troubles anxieux – Dépression – Traumatismes – Troubles du comportement alimentaire – Addictions – Carences affectives, troubles de l’attachement)
- Théorie Polyvagale
- TIFT (traitement des traumatismes)
Téléphone : 06 20 66 44 40 N° Adéli 569309933
- La psychothérapie humaniste. L’approche humaniste est un courant de la psychologie fondé sur une vision positive de l’être humain. C’est également un modèle de psychothérapie qui s’appuie sur la tendance innée de la personne à vouloir se réaliser, c’est-à-dire à mobiliser les forces de croissance psychologique et à développer son potentiel. C’est le courant de l’Analyse Transactionnelle.
- La psychologie existentielle Elle se donne pour objectif de comprendre les représentations, émotions, attitudes et comportements que les personnes développent face à l’existence et aux perspectives de choix de vie. C’est le courant proposé par Irvin Yalom.
- L’attachement et la régulation émotionnelle :
- La théorie de l’attachement est un champ de la psychologie qui traite d’un aspect spécifique des relations entre êtres humains. Son principe de base est qu’un jeune enfant a besoin, pour connaître un développement social et émotionnel normal, de développer une relation d’attachement avec au moins une personne qui prend soin de lui de façon cohérente et continue (« caregiver »). C’est dans ce sens qu’on peut dire que l’attachement est primordial pour l’évolution psychologique de l’enfant. Cette théorie a été formalisée par le psychiatre et psychanalyste John Bowlby après les travaux de Winnicott, Lorenz et Harlow.
- Les recherches de la psychologue du développement Mary Ainsworth au cours des années 1960 et 1970 ont donné un socle aux concepts de base, en introduisant la notion de base de sécurité et en développant la théorie de l’existence de schèmes d’attachement dans la petite enfance : attachement sécurisé, attachement anxieux et attachement évitant ; un quatrième schème, l’attachement désorganisé, a été identifié plus tard.
-
- La régulation émotionnelle (ou contrôle émotionnel) est la capacité à agir sur ses propres émotions. C’est un processus psychologique complexe qui recouvre à la fois la capacité à déclencher, inhiber, maintenir ou moduler ses propres affects au sens large, ce qui inclut :
- les sentiments subjectifs liés aux émotions ;
- certains processus cognitifs (par exemple, un souvenir post-traumatique)
- certains processus physiologiques (par exemple, le rythme cardiaque)
- certains comportements (par exemple, le rire).
- La régulation émotionnelle (ou contrôle émotionnel) est la capacité à agir sur ses propres émotions. C’est un processus psychologique complexe qui recouvre à la fois la capacité à déclencher, inhiber, maintenir ou moduler ses propres affects au sens large, ce qui inclut :
- La systémie, la psycho-généalogie, la relaxation, l’art thérapie, la sexologie sont différentes approches pouvant être utilisées lors de la thérapie
Résumé
“Utiliser le genre comme outil d’analyse peut permettre au thérapeute de regarder le monde comme un Martien » : Élise Blanc nous invite à nous emparer d’un concept sociologique pour enrichir notre Parent culturel et ouvrir notre cadre de référence de psy sur la complexité de la construction d’une identité sexuée. Elle fait appel aux définitions de différents auteurs tels que Robert Stoller, Joan Wallach Scott, Vincent Bourseul. Elle aborde de manière historique le regard de la psychanalyse sur ce concept. Tout particulièrement, elle lève le voile sur un aspect méconnu de Freud souvent présenté comme misogyne”. F.H.
Comment le genre s’invite dans nos cabinets
Résumé
“Cet article s’appuie sur les aspects théoriques développés dans la première partie : « Le genre, regard de psy » paru dans ce même numéro. « Il s’agit de construire une posture de thérapeute martien capable d’écouter et de comprendre nos patients dans des zones restées jusqu’à présent invisibles », écrit Élise Blanc à la fin de cette première partie. Cette posture est ici largement interrogée et analysée à l’aide de concepts d’analyse transactionnelle. Où mettre le curseur entre le sain, le pathologique et la norme ? Comment respecter la demande du patient en laissant de côté nos préjugés et croyances ? Comment concilier visée thérapeutique et éthique ? Une vignette clinique enrichit notre réflexion déjà bien sollicitée par le contenu de cet écrit.” F.H.
Article sur l’accompagnement d’une GPA
Résumé
Un renvoi aux archaïsmes et aux questions fondamentales des origines, de la vie et de la mort